Une nouveauté : j'ai écrit un article, au moment de l'éditer il disparaît, on ne me connait plus, il faut que je redonne patte blanche, et avec tout ça je ne suis pas sûre que mon message va pouvoir être transmis. Croisons les doigts, croisez-les avec moi...
J'avais pourtant commencé sérieusement. Si par hasard l'enregistrement de cet article a été réalisé, ne tenez
pas compte, please, de mes redites. J'avais tellement l'intention de faire les choses comme il faut! Donc, on recommence.
Je suis écrivain, j'ai toujours écrit, je publie chez des éditeurs parisiens depuis près de trente ans. Vous voyez donc que j'ai de la bouteille, mais comme je suis née à Mercurey, on va partir
du principe que ce ne peut qu'être une bonne bouteille et qu'elle m'a souvent inspirée. Mon premier roman a eu pas mal de retentissement, c'était "Les Noeuds d'Argile" et bien que publié par un
éditeur courageux que personne ne connaissait, Alain Schrotter, il a eu le prix Roland-Dorgelès en 1982. Fayard en a tout de suite entrepris la réédition, et toute la trilogie bourguignonne a
suivi chez Mazarine-Fayard (avec "Le Grain du Chanvre ou l'Histoire de Jeanne" en 85, avec une superbe préface de Jacques Lacarrière, et "Le Livre de Juste" en 86). En 84 j'étais passée chez
Pivot, dans une des APOSTROPHES de la grande époque. Je crois que j'attendrai demain pour la suite. Bonjour au chat, je vous dirai tout demain, promis!