Vous voyez bien, mes belins-belines, qu’on y arrivait tout doucement ! Voilà qu’avant-hier, en disant au revoir à Proust, je constate tout soudain que nous nous trouvons sur le pic attendu désiré souhaité, ce N°1100 qui n’est ni joli en soi ni euphonique mais qui représente une halte bienvenue après tant d’efforts conjugués. Mais oui, conjugués, je dis bien ! Car si de mon côté il a fallu trouver les idées et les mettre en forme (et, croyez-moi, c’est plus facile à faire pour moi selon ma tradition cérébrale presque centenaire que sur mon bureau quand j’ai perdu une pédale et que je voudrais revoir ma barre d’outils, mon petit chien, mes icônes habituelles, bref mon petit matériel de communication avec vous : c’est non plus simplement une gymnastique déprimante qu’il me faut accomplir mais bel et bien un athlétisme digne de ce qui va se passer à Londres d’ici peu), de votre côté à vous il a fallu mettre bout à bout la patience, l’irritation éventuelle, le manque d’intérêt passager, que sais-je ? tout ce qui depuis ce millier de blogs suivis de leur centaine a pu vous causer de l’émotion ou vous faire rouspéter. Si vous avez des revendications à formuler, adressez-vous à moi : je trouverai toutes les solutions nécessaires, j’ai bien la main pour ça (sauf pour mon histoire de garage : on me le construit sous le nez et il faut encore que je paie, imaginez-vous !). Et je pourrai même avoir davantage de contacts avec vous : songez qu’on vient de me dire que quand vous m’envoyez un commentaire, je pourrais vous répondre à la suite de votre commentaire ! Jamais trop tard pour apprendre à lire, mes agneaux ! Cela nous promet de belles journées en attendant le N°1200. Je fourbis déjà mes armes.