DUNE ET DUNE Je n'ai jamais prétendu que Dune, le film de David Lynch, fût un chef-d'oeuvre, ni même un film défendable : j'appréciais trop le roman de Frank Herbert pour imaginer qu'on pût le porter à l'écran et je n'avais pas cherché à le voir ni suivi...
Lire la suiteUN BEAU PROGRAMME Un Lubitsch que je ne connaissais pas? Allons-y! (seule grimace : la présence majeure de Jennifer Jones - Selznik a-t-il enfin ouvert les yeux et mis fin à ses ébats de bécassine aux grosses joues, laquelle a dû chercher du travail ailleurs?...
Lire la suiteCHOIX D'UN SUJET Je me fais parfois l'effet d'une conductrice en cours d'apprentissage, pleine d'enthousiasme mais aussi pleine de complexes, qui serait prête à dévorer l'espace (virages, vitesse, freinage...) si on lui mettait entre les mains une voiture...
Lire la suiteDU BRICOLAGE ARTISANAL Vous avez pu voir hier qu'après une bouderie de trois ou quatre jours l'ustensile dont je dépends pour vous contacter, mes belins-belines, a fini par se plier à mes desiderata. C'est moi toute seule qui ai réussi à débloquer cet...
Lire la suiteQUESTIONNEMENT Est-ce qu'aujourd'hui la bonne volonté de mon ustensile vous permettra de vérifier que, même sans la possibilité d'un envol vers vous j'ai dûment rempli ma fonction? Oui mes belins-belines, j'ai trois blogs qui piétinent dans l'impatience...
Lire la suiteMELANCOLIE TOUT PARTOUT Je ne sais pas si ce billet pourra vous parvenir, mes belins-belines : voilà deux jours que mon ustensile me fait comprendre avec obstination que "Hum, il ne va pas pouvoir trouver ce site" (celui qui me permettrait de m'envoler...
Lire la suiteMISES AU POINT C'est sans doute le hasard de la programmation qui amène Ciné-Classic et parfois Ciné-Club à proposer une série d'oeuvres signées du même cinéaste (ou jouées par le même comédien) : toujours est-il que le fonctionnement des découvertes...
Lire la suiteARTE ET LES FILMS ALLEMANDS Il est rare que je sois entièrement ravie par un film allemand tel que nous les sélectionne Arte. Il y manque toujours, me semble-t-il, une chaleur qu'on trouve en abondance (en surabondance, même) dans le cinéma italien. Les...
Lire la suiteDU CINEMA A QUATRE MAINS J'ai aimé, il y a bien longtemps, les frères Taviani dans leur Arbre aux sabots. Pour les frères Coen, Joel et Ethan de douce fratrie, mon enthousiasme va presque à l'idolâtrie, tant à force de les pratiquer sous tous les angles...
Lire la suitePLETHORE DE BOUQUINS Les livres, chez moi, déferlent comme une marée. Et une marée montante qui ne connaît jamais de phases de calme et de décroissance. J'ai toutes les peines du monde à empêcher mon bureau de devenir le troisième capharnaüm de la maison...
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