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24 novembre 2023 5 24 /11 /novembre /2023 11:44

SURPRISE

 

          Figurez-vos que j'ai eu la grande surprise d'apprendre du coiffeur chez qui j'ai mes habitudes qu'il avait consulté non seulement Wikipedia (découvrant avec  une espèce d'effarement ce qe j'avais pu faire et publier), mais aussi mon blog, dont il n 'a pu d'ailleurs avoir qu'une décourageante approche étant donné le peu de soin que je mets tous ces temps à choisir mes sujets. Un coiffeur qui lit mon  blog! Je sais de source sùre qu'il ne s'agit  que d'un  geste de curiosité, qu'l n'a aucune raison ni aucune intentio, de voir quotidiennemen t ce que je pense de la dernière pluie. Inutile même de lui suggérer tous les sujets abordés avec vous, mes belins-belines.   Mais tout de même Un coiffeur... J'en ai éprouvé une espèce de fierté.

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commentaires

A
Bonjour à tous les lectrices et les lecteurs du blog de Lucette Desvignes,<br /> <br /> N'ayant pas accès au blog de notre Mère et Belle-mère, nous faisons appel à ce moyen pour vous annoncer avec tristesse le décès de Lucette il y a exactement un mois, le 14 février. Elle nous manque et elle manquera à tous et toutes qui fidèlement lisaient ses oeuvres et son blog quotidien. <br /> Ses enfants, Ana et Jean.
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F
tout le meilleur pour ce début d'année, Lucette, et vive le coiffeur web !
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P
Ceci est un commentaire test, pour montrer à ma grand-mère comment vous envoyer un mail plus tard !<br /> C'est une grande admiratrice.
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A
Pourquoi pas! il doit y avoir des coiffeurs bons lecteurs :-)<br /> Votre billet me fait penser à un passage de Laure Murat (Proust, roman familial) où elle dit combien peu était lettré ce milieu mondain alors que des ouvriers lisaient les grands auteurs.
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A
je cite: "Le père d'Adrienne Monnier, facteur, avait lu Joyce, Fargue, Valéry et bien d'autres; la mère de Monique Wittig, femme d'ouvrier, évoque dans sa correspondance avec sa fille ses lectures de Kafka et de Faulkner. Dans 'Une Femme', Annie Ernaux rapporte que sa mère lisait Mauriac, Bernanos et Colette. Mes grands-parents n'avaient ouvert aucun de ces livres, pas plus que l'écrasante majorité de mes oncles et tantes" (p. 32)

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