J’ai eu la tardive curiosité de savoir si on pouvait me contacter en dehors de mon blog, et j’ai découvert que sur Internet il y avait moyen de se convaincre que j’existe bel et bien. « A 90 ans, elle blogue tous les jours ! » « Quel régal ! » Il semble même qu’il y ait eu une analyse ou un commentaire assez étendu, avec un nom en toutes lettres qui me tend peut-être la perche pour un contact plus actif : Régis Iglésias, beau nom ibérique que je ne sais comment évoquer (si vous lisez cet appel, même après tout ce temps écoulé, ne voudrez-vous pas me faire signe, càd en me suggérant des modes d’emploi pour me rendre jusqu’à vous ? Ce n’est pas le manque de sympathie qui me retient, mais le manque de savoir faire avec mon ordinateur : c’est comme avec Facebook, je ne sais en profiter que quand on m’aide… Et j’espère que le commentaire en question n’est pas un éreintement convaincu, qu’il me faudrait encaisser sans savoir comment répondre ! Qui sait si on ne m’éreinte pas sur Internet ici ou là sans que je le sache ?). J’ai même aperçu une référence de Geneviève (j’ai possibilité de contact avec elle depuis cette date bénie de 2008 où, au démarrage de mon blog, elle saluait sa naissance avec pour Les Nœuds d’Argile mon premier roman un jugement inoubliable qui est resté dans mon cœur) qui perdure dès les premières lignes et que, j’espère, on peut lire simplement en cliquant comme il faut…Je me rends bien compte que dès la publication d’un texte quel qu’il soit il devient matière à critique ou commentaire de la part de tous et n’importe qui : c’est normal, si on ne veut pas de cette exposition au regard d’autrui il faut resté caché – ou muet !..