On dit souvent que, si fourbus qu'ils soient, les chevaux d'un attelage retrouvent un peu de force lorsqu'ils sentent que le bercail est à portée de galop. C'est peut-être ce que je pourrais escompter dans mon programme de livraison du vendredi, puisque j'en arrive au chapitre X (il ne reste plus qu'Y et Z, si je compte bien, cela ne fait plus beaucoup de livraisons à prévoir et c'est Ouf! Ouf! Ouf! pour tout le monde). Les aléas de cette distribution hebdomadaire imparablement liés, hélas, à mon incompétence des technologies de base ont finalement hérissé ce dispatching offert comme un cadeau aux habitués de mon blog (et peut-être ressenti comme un ajout pesant) de distributions inattendues : deux fois le même passage, ou au contraire une livraison sautée... Aujourd'hui en particulier, avec l'effet cumulé des analgésiques en boucle, je ne me sens pas des plus guillerettes, et cependant le vendredi est jour de livraison du feuilleton et j'ai déjà heurté ma bonne volonté à une série d'incapacités qui vont condamner les tentatives de réussite. On verra demain si mes neurones ont résisté glorieusement aux attaques des pain killers : pour l'instant je ne vois guère qu'une petite sieste devant la télé éteinte qui puisse me convenir et je vais y recourir dare-dare, tant pis si de votre côté vous avez des humeurs encore un peu batailleuses.
