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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 16:22

Je vous écris dans l’atmosphère sereine et cependant surexcitée des séances de photographie. Figurez-vous que j’ai chez moi la télé – mais oui, la télé qui m’extrait enfin de  l’obscurité où je me trouvais confinée depuis tant d’années. Mon ami François-Marie Lapchine, oui soi-même, qui m’a fait cette surprise et ce grand plaisir : présenter « l’Histoire de Colombe in situ, comme on dit savamment, c’est-à-dire chez moi, au milieu de tous mes bouquins, de toutes les revues qui me sont consacrées, y compris les traductions américaines, et voilà que je vais exhiber à la télé, sur tous les écrans de la région, comment je tape sur mon ordinateur. En théorie je suis censée écrire mon blog, mais je crois bien que je devrai recommencer sur un autre sujet parce qu’à chaque instant j’aperçois le signal « ne répond pas », je m’aperçois donc que l’ordi recommence à renâcler (ah !si je devais me choisir un baudet  et l’enfourcher pour un voyage en terres lointaines je ne choisirais pas celui-là, comptez sur moi). En même temps que je m’active les neurones pour le résultat intellectuel que vous êtes à même de contempler à présent, j’espère vite qu’on ne photographie pas trop derrière moi parce que les fautes s’accumulent  et que nonobstant on voudrait un échantillon de mes prestations. Et pas de profil, s’il vous plaît – (ça c’est moi qui implore), c’est déjà suffisamment ingrat, la photo de face… Et voilà que le bouquet me fait défaut : je pensais être entourée de mes chats, un ou deux dans les bras, ça aurait fait mignon et le cameraman est bien déçu, mais de même que l’ordi m’a lâchée au meilleur moment, de même mes chats se sont dispersés dans la nature quand ils ont entendu des voix d’hommes. Pas une fourrure à prendre contre mon visage, pour le cacher aux trois-quarts au moment d’un gros plan.

Pas de chance, quoi ! Il ne me reste plus qu’à souhaiter qu’il n’y ait pas grève (Télé, ou EDF, l’une ou l’autre, l’un et l’autre cette rentrée) quand l’émission me concernant sera diffusée …

                                                                                           Lucette DESVIGNES.                                                                      

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                         

                                               

Je vous écris dans l’atmosphère sereine et cependant surexcitée des séances de photographie. Figurez-vous que j’ai chez moi la télé – mais oui, la télé qui m’extrait enfin de  l’obscurité où je me trouvais confinée depuis tant d’années. Mon ami François-Marie Lapchine, oui soi-même, qui m’a fait cette surprise et ce grand plaisir : présenter « l’Histoire de Colombe in situ, comme on dit savamment, c’est-à-dire chez moi, au milieu de tous mes bouquins, de toutes les revues qui me sont consacrées, y compris les traductions américaines, et voilà que je vais exhiber à la télé, sur tous les écrans de la région, comment je tape sur mon ordinateur. En théorie je suis censée écrire mon blog, mais je crois bien que je devrai recommencer sur un autre sujet parce qu’à chaque instant j’aperçois le signal « ne répond pas », je m’aperçois donc que l’ordi recommence à renâcler (ah !si je devais me choisir un baudet  et l’enfourcher pour un voyage en terres lointaines je ne choisirais pas celui-là, comptez sur moi). En même temps que je m’active les neurones pour le résultat intellectuel que vous êtes à même de contempler à présent, j’espère vite qu’on ne photographie pas trop derrière moi parce que les fautes s’accumulent  et que nonobstant on voudrait un échantillon de mes prestations. Et pas de profil, s’il vous plaît – (ça c’est moi qui implore), c’est déjà suffisamment ingrat, la photo de face… Et voilà que le bouquet me fait défaut : je pensais être entourée de mes chats, un ou deux dans les bras, ça aurait fait mignon et le cameraman est bien déçu, mais de même que l’ordi m’a lâchée au meilleur moment, de même mes chats se sont dispersés dans la nature quand ils ont entendu des voix d’hommes. Pas une fourrure à prendre contre mon visage, pour le cacher aux trois-quarts au moment d’un gros plan…Pas de chance, quoi ! Il ne me reste plus qu’à souhaiter qu’il n’y ait pas grève (Télé, ou EDF, l’une ou l’autre, l’un et l’autre cette rentrée) quand l’émission me concernant sera diffusée …

                                                                      

                                                                                                       

Je vous écris dans l’atmosphère sereine et cependant surexcitée des séances de photographie. Figurez-vous que j’ai chez moi la télé – mais oui, la télé qui m’extrait enfin de  l’obscurité où je me trouvais confinée depuis tant d’années. Mon ami François-Marie Lapchine, oui soi-même, qui m’a fait cette surprise et ce grand plaisir : présenter « l’Histoire de Colombe in situ, comme on dit savamment, c’est-à-dire chez moi, au milieu de tous mes bouquins, de toutes les revues qui me sont consacrées, y compris les traductions américaines, et voilà que je vais exhiber à la télé, sur tous les écrans de la région, comment je tape sur mon ordinateur. En théorie je suis censée écrire mon blog, mais je crois bien que je devrai recommencer sur un autre sujet parce qu’à chaque instant j’aperçois le signal « ne répond pas », je m’aperçois donc que l’ordi recommence à renâcler (ah !si je devais me choisir un baudet  et l’enfourcher pour un voyage en terres lointaines je ne choisirais pas celui-là, comptez sur moi). En même temps que je m’active les neurones pour le résultat intellectuel que vous êtes à même de contempler à présent, j’espère vite qu’on ne photographie pas trop derrière moi parce que les fautes s’accumulent  et que nonobstant on voudrait un échantillon de mes prestations. Et pas de profil, s’il vous plaît – (ça c’est moi qui implore), c’est déjà suffisamment ingrat, la photo de face… Et voilà que le bouquet me fait défaut : je pensais être entourée de mes chats, un ou deux dans les bras, ça aurait fait mignon et le cameraman est bien déçu, mais de même que l’ordi m’a lâchée au meilleur moment, de même mes chats se sont dispersés dans la nature quand ils ont entendu des voix d’hommes. Pas une fourrure à prendre contre mon visage, pour le cacher aux trois-quarts au moment d’un gros plan…Pas de chance, quoi ! Il ne me reste plus qu’à souhaiter qu’il n’y ait pas grève (Télé, ou EDF, l’une ou l’autre, l’un et l’autre cette rentrée) quand l’émission me concernant sera diffusée …

                                                                      

                                                                                                        Lucette DESVIGNES. 

 

                                                                      

                                                                                                        Lucette DESVIGNES. 

Je vous écris dans l’atmosphère sereine et cependant surexcitée des séances de photographie. Figurez-vous que j’ai chez moi la télé – mais oui, la télé qui m’extrait enfin de  l’obscurité où je me trouvais confinée depuis tant d’années. Mon ami François-Marie Lapchine, oui soi-même, qui m’a fait cette surprise et ce grand plaisir : présenter « l’Histoire de Colombe in situ, comme on dit savamment, c’est-à-dire chez moi, au milieu de tous mes bouquins, de toutes les revues qui me sont consacrées, y compris les traductions américaines, et voilà que je vais exhiber à la télé, sur tous les écrans de la région, comment je tape sur mon ordinateur. En théorie je suis censée écrire mon blog, mais je crois bien que je devrai recommencer sur un autre sujet parce qu’à chaque instant j’aperçois le signal « ne répond pas », je m’aperçois donc que l’ordi recommence à renâcler (ah !si je devais me choisir un baudet  et l’enfourcher pour un voyage en terres lointaines je ne choisirais pas celui-là, comptez sur moi). En même temps que je m’active les neurones pour le résultat intellectuel que vous êtes à même de contempler à présent, j’espère vite qu’on ne photographie pas trop derrière moi parce que les fautes s’accumulent  et que nonobstant on voudrait un échantillon de mes prestations. Et pas de profil, s’il vous plaît – (ça c’est moi qui implore), c’est déjà suffisamment ingrat, la photo de face… Et voilà que le bouquet me fait défaut : je pensais être entourée de mes chats, un ou deux dans les bras, ça aurait fait mignon et le cameraman est bien déçu, mais de même que l’ordi m’a lâchée au meilleur moment, de même mes chats se sont dispersés dans la nature quand ils ont entendu des voix d’hommes. Pas une fourrure à prendre contre mon visage, pour le cacher aux trois-quarts au moment d’un gros plan…Pas de chance, quoi ! Il ne me reste plus qu’à souhaiter qu’il n’y ait pas grève (Télé, ou EDF, l’une ou l’autre, l’un et l’autre cette rentrée) quand l’émission me concernant sera diffusée …

                                                                      

                                                                                                        Lucette DESVIGNES. 

Je vous écris dans l’atmosphère sereine et cependant surexcitée des séances de photographie. Figurez-vous que j’ai chez moi la télé – mais oui, la télé qui m’extrait enfin de  l’obscurité où je me trouvais confinée depuis tant d’années. Mon ami François-Marie Lapchine, oui soi-même, qui m’a fait cette surprise et ce grand plaisir : présenter « l’Histoire de Colombe in situ, comme on dit savamment, c’est-à-dire chez moi, au milieu de tous mes bouquins, de toutes les revues qui me sont consacrées, y compris les traductions américaines, et voilà que je vais exhiber à la télé, sur tous les écrans de la région, comment je tape sur mon ordinateur. En théorie je suis censée écrire mon blog, mais je crois bien que je devrai recommencer sur un autre sujet parce qu’à chaque instant j’aperçois le signal « ne répond pas », je m’aperçois donc que l’ordi recommence à renâcler (ah !si je devais me choisir un baudet  et l’enfourcher pour un voyage en terres lointaines je ne choisirais pas celui-là, comptez sur moi). En même temps que je m’active les neurones pour le résultat intellectuel que vous êtes à même de contempler à présent, j’espère vite qu’on ne photographie pas trop derrière moi parce que les fautes s’accumulent  et que nonobstant on voudrait un échantillon de mes prestations. Et pas de profil, s’il vous plaît – (ça c’est moi qui implore), c’est déjà suffisamment ingrat, la photo de face… Et voilà que le bouquet me fait défaut : je pensais être entourée de mes chats, un ou deux dans les bras, ça aurait fait mignon et le cameraman est bien déçu, mais de même que l’ordi m’a lâchée au meilleur moment, de même mes chats se sont dispersés dans la nature quand ils ont entendu des voix d’hommes. Pas une fourrure à prendre contre mon visage, pour le cacher aux trois-quarts au moment d’un gros plan…Pas de chance, quoi ! Il ne me reste plus qu’à souhaiter qu’il n’y ait pas grève (Télé, ou EDF, l’une ou l’autre, l’un et l’autre cette rentrée) quand l’émission me concernant sera diffusée …

                                                                      

                                                                                                        Lucette DESVIGNES. 

Je vous écris dans l’atmosphère sereine et cependant surexcitée des séances de photographie. Figurez-vous que j’ai chez moi la télé – mais oui, la télé qui m’extrait enfin de  l’obscurité où je me trouvais confinée depuis tant d’années. Mon ami François-Marie Lapchine, oui soi-même, qui m’a fait cette surprise et ce grand plaisir : présenter « l’Histoire de Colombe in situ, comme on dit savamment, c’est-à-dire chez moi, au milieu de tous mes bouquins, de toutes les revues qui me sont consacrées, y compris les traductions américaines, et voilà que je vais exhiber à la télé, sur tous les écrans de la région, comment je tape sur mon ordinateur. En théorie je suis censée écrire mon blog, mais je crois bien que je devrai recommencer sur un autre sujet parce qu’à chaque instant j’aperçois le signal « ne répond pas », je m’aperçois donc que l’ordi recommence à renâcler (ah !si je devais me choisir un baudet  et l’enfourcher pour un voyage en terres lointaines je ne choisirais pas celui-là, comptez sur moi). En même temps que je m’active les neurones pour le résultat intellectuel que vous êtes à même de contempler à présent, j’espère vite qu’on ne photographie pas trop derrière moi parce que les fautes s’accumulent  et que nonobstant on voudrait un échantillon de mes prestations. Et pas de profil, s’il vous plaît – (ça c’est moi qui implore), c’est déjà suffisamment ingrat, la photo de face… Et voilà que le bouquet me fait défaut : je pensais être entourée de mes chats, un ou deux dans les bras, ça aurait fait mignon et le cameraman est bien déçu, mais de même que l’ordi m’a lâchée au meilleur moment, de même mes chats se sont dispersés dans la nature quand ils ont entendu des voix d’hommes. Pas une fourrure à prendre contre mon visage, pour le cacher aux trois-quarts au moment d’un gros plan…Pas de chance, quoi ! Il ne me reste plus qu’à souhaiter qu’il n’y ait pas grève (Télé, ou EDF, l’une ou l’autre, l’un et l’autre cette rentrée) quand l’émission me concernant sera diffusée …

                                                                      

                                                                                                        Lucette DESVIGNES. 

Je vous écris dans l’atmosphère sereine et cependant surexcitée des séances de photographie. Figurez-vous que j’ai chez moi la télé – mais oui, la télé qui m’extrait enfin de  l’obscurité où je me trouvais confinée depuis tant d’années. Mon ami François-Marie Lapchine, oui soi-même, qui m’a fait cette surprise et ce grand plaisir : présenter « l’Histoire de Colombe in situ, comme on dit savamment, c’est-à-dire chez moi, au milieu de tous mes bouquins, de toutes les revues qui me sont consacrées, y compris les traductions américaines, et voilà que je vais exhiber à la télé, sur tous les écrans de la région, comment je tape sur mon ordinateur. En théorie je suis censée écrire mon blog, mais je crois bien que je devrai recommencer sur un autre sujet parce qu’à chaque instant j’aperçois le signal « ne répond pas », je m’aperçois donc que l’ordi recommence à renâcler (ah !si je devais me choisir un baudet  et l’enfourcher pour un voyage en terres lointaines je ne choisirais pas celui-là, comptez sur moi). En même temps que je m’active les neurones pour le résultat intellectuel que vous êtes à même de contempler à présent, j’espère vite qu’on ne photographie pas trop derrière moi parce que les fautes s’accumulent  et que nonobstant on voudrait un échantillon de mes prestations. Et pas de profil, s’il vous plaît – (ça c’est moi qui implore), c’est déjà suffisamment ingrat, la photo de face… Et voilà que le bouquet me fait défaut : je pensais être entourée de mes chats, un ou deux dans les bras, ça aurait fait mignon et le cameraman est bien déçu, mais de même que l’ordi m’a lâchée au meilleur moment, de même mes chats se sont dispersés dans la nature quand ils ont entendu des voix d’hommes. Pas une fourrure à prendre contre mon visage, pour le cacher aux trois-quarts au moment d’un gros plan…Pas de chance, quoi ! Il ne me reste plus qu’à souhaiter qu’il n’y ait pas grève (Télé, ou EDF, l’une ou l’autre, l’un et l’autre cette rentrée) quand l’émission me concernant sera diffusée …

                                                                      

                                                                                                        Lucette DESVIGNES. 

Je vous écris dans l’atmosphère sereine et cependant surexcitée des séances de photographie. Figurez-vous que j’ai chez moi la télé – mais oui, la télé qui m’extrait enfin de  l’obscurité où je me trouvais confinée depuis tant d’années. Mon ami François-Marie Lapchine, oui soi-même, qui m’a fait cette surprise et ce grand plaisir : présenter « l’Histoire de Colombe in situ, comme on dit savamment, c’est-à-dire chez moi, au milieu de tous mes bouquins, de toutes les revues qui me sont consacrées, y compris les traductions américaines, et voilà que je vais exhiber à la télé, sur tous les écrans de la région, comment je tape sur mon ordinateur. En théorie je suis censée écrire mon blog, mais je crois bien que je devrai recommencer sur un autre sujet parce qu’à chaque instant j’aperçois le signal « ne répond pas », je m’aperçois donc que l’ordi recommence à renâcler (ah !si je devais me choisir un baudet  et l’enfourcher pour un voyage en terres lointaines je ne choisirais pas celui-là, comptez sur moi). En même temps que je m’active les neurones pour le résultat intellectuel que vous êtes à même de contempler à présent, j’espère vite qu’on ne photographie pas trop derrière moi parce que les fautes s’accumulent  et que nonobstant on voudrait un échantillon de mes prestations. Et pas de profil, s’il vous plaît – (ça c’est moi qui implore), c’est déjà suffisamment ingrat, la photo de face… Et voilà que le bouquet me fait défaut : je pensais être entourée de mes chats, un ou deux dans les bras, ça aurait fait mignon et le cameraman est bien déçu, mais de même que l’ordi m’a lâchée au meilleur moment, de même mes chats se sont dispersés dans la nature quand ils ont entendu des voix d’hommes. Pas une fourrure à prendre contre mon visage, pour le cacher aux trois-quarts au moment d’un gros plan…Pas de chance, quoi ! Il ne me reste plus qu’à souhaiter qu’il n’y ait pas grève (Télé, ou EDF, l’une ou l’autre, l’un et l’autre cette rentrée) quand l’émission me concernant sera diffusée …

                                                                      

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Je vous écris dans l’atmosphère sereine et cependant surexcitée des séances de photographie. Figurez-vous que j’ai chez moi la télé – mais oui, la télé qui m’extrait enfin de  l’obscurité où je me trouvais confinée depuis tant d’années. Mon ami François-Marie Lapchine, oui soi-même, qui m’a fait cette surprise et ce grand plaisir : présenter « l’Histoire de Colombe in situ, comme on dit savamment, c’est-à-dire chez moi, au milieu de tous mes bouquins, de toutes les revues qui me sont consacrées, y compris les traductions américaines, et voilà que je vais exhiber à la télé, sur tous les écrans de la région, comment je tape sur mon ordinateur. En théorie je suis censée écrire mon blog, mais je crois bien que je devrai recommencer sur un autre sujet parce qu’à chaque instant j’aperçois le signal « ne répond pas », je m’aperçois donc que l’ordi recommence à renâcler (ah !si je devais me choisir un baudet  et l’enfourcher pour un voyage en terres lointaines je ne choisirais pas celui-là, comptez sur moi). En même temps que je m’active les neurones pour le résultat intellectuel que vous êtes à même de contempler à présent, j’espère vite qu’on ne photographie pas trop derrière moi parce que les fautes s’accumulent  et que nonobstant on voudrait un échantillon de mes prestations. Et pas de profil, s’il vous plaît – (ça c’est moi qui implore), c’est déjà suffisamment ingrat, la photo de face… Et voilà que le bouquet me fait défaut : je pensais être entourée de mes chats, un ou deux dans les bras, ça aurait fait mignon et le cameraman est bien déçu, mais de même que l’ordi m’a lâchée au meilleur moment, de même mes chats se sont dispersés dans la nature quand ils ont entendu des voix d’hommes. Pas une fourrure à prendre contre mon visage, pour le cacher aux trois-quarts au moment d’un gros plan…Pas de chance, quoi ! Il ne me reste plus qu’à souhaiter qu’il n’y ait pas grève (Télé, ou EDF, l’une ou l’autre, l’un et l’autre cette rentrée) quand l’émission me concernant sera diffusée …

                                                                      

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